21 novembre 2010

Poème écris par Rebecca Arditti

Poème écris par Rebecca Arditti
VIEILLESS
Devant mon miroir aujourd’hui
Mes rides et mes cheveux blanc j’ai vu.....
Qui est cette femme, cette inconnue
Qui inexorablement s’achemine
Vers la fin de sa vie....
Ces yeux bleus me sont familiers
Oui, je les reconnais......
Ils brillent encore,
Comme ceux de la petite fille
Aux cheveux fous,
Qui a grandes enjambées heureuse
Courait vers le soleil, la mer, le vent
L’amour et l’espérance
La joie et la tendresse
Les rêves insensés
Les chemins infinis
De fleurs parfumées
Qu’aurai embaume
Sa vie.
Oui, ou est-elle cette petite fille?
Ses yeux sont plein de tristesse
Car les ans
Ont arrêté l’élan
De sa course au bonheur
Ou est son âme
Sa douce âme qui croyait
Aux lendemains lumineux
Aux arbres plein de rose
Aux aisseaux ivres de vie
Et aux crépuscules attendus.....
Oh pourquoi pourquoi
Ne peut-on voir l’âme des gens
Devenues belles avec les ans
Pourquoi ne voit-on
Que les rides, les chevaux blancs
La ruine du corps
Et ses misères
Sa pénible déchéance
Son déclin et ses souffrances
Alors que l’âme reste dans l’ombre?




Heute habe ich in meinem Spiegel
Falten und weiße Haare gesehen...
Wer ist diese Frau, diese Unbekannte,
Die sich unaufhaltsam vorwärts bewegt
Dem Ende ihres Lebens nahernd...?
Diese blaue Augen sind mir vertraut
Ich erkenne sie..
Sie leuchten noch
Wie die des kleinen Mädchens
Die mit zersausten Haar,
Und fröhlichen Schritten
Der Sonne, dem Meer, dem Wind
Entgegen lief ,
Der Liebe und der Hoffnung
Der Freude und der Zärtlichkeit
Den verrückten Träumen
Den  unendlichen Wegen
Von dufteten Blumen gesäumt
Die, Ihres Lebens  Balsam waren.
Wo ist dieses kleine Mädchen?
Ihre Augen sind voller Traurikeit
Denn die Jahre haben den Elan
Ihres Lauf nach dem Glück  gebremst
Wo ist ihre Seele
Ihre sanfte Seele, welche
An den Morgen voller Licht glaubte,
An die Bäume voller Rosen
An die  Schiffen voller Leben
An die erwarteten Sonnenuntergänge..
Oh warum,warum.
Können wirMenschenseelen nicht sehen
Die durch die Jahre verschönert sind
Warum sehen wir bloß
Falten und weißee Haare
Des Körpers Ruinen
Und sein Elend,
Seinen schwer zu ertragenden Verfall
Sein lebensabend, seine Schmerzen
Während die Seele im Schatten bleibt.

Aucun commentaire: