14 novembre 2010

Le Court-circuit

Le Court-circuit

Un dimanche d’hiver Jack se prépare a une paisible journée a la maison avec les journaux, la music, un bon vin, le repos après une semaine fatigante au bureau et avant le commencement d’une nouvelle semaine sur le même tempo.

Dehors le ciel est couvert et peut-être une bourrasque de neige est en route, les arbres dans le square sont tristes et les bancs orphelins de visiteurs.

Dans un autre pays, le soleil brille, un dimanche à flâner sur la plage, a boire une limonade glacée, ou une bière bien fraiche, Sarah se prépare a une journée de bronzage au bord de la mer bleu.

Jack se prélasse dans son fauteuil les journaux éparpillés autour de lui, l’appartement est chaud, un cd diffuse de la musique classique, les premiers flocons de neige se posent sur le rebord de la fenêtre, les arbres frissonnent dans le square.

Sarah un grand sac de plage, pose prés d’elle, conduit vers la plage, la radio diffuse le dernier tube. Le soleil brille.

La music classique se meurt d’un coup, les lampes s’éteignent, les ténèbres emplissent l’appartement. Jack s’approche de la fenêtre, ses voisins ont de la lumière, le court circuit est chez lui.

Sarah est la troisième voiture avant le feu rouge qui s’éternise, et s’éteint, la circulation s’arrête tout le monde clackson.

Jack décent chez le portier pour demander de l’aide.

Sarah s’énerve en pensant au temps perdu.

Le portier monte avec Jack et après quelque tâtonnement dans la boite de diffusion, la lumière, revient et repart …le portier lève ses épaules, demain il fera venir un électricien.

Une voiture avance Sarah voudrai aussi de faufilée.

L’appartement se refroidi, Jack pense se mettre au lit jusqu’au lendemain.

Une voiture coupe la route de Sarah.

Une porte à droite du palier s’ouvre, puis-je vous aidez ? Deux yeux noirs, une chevelure courte une silhouette menue dans un débardeur vert……

Boum, un corps bronzé, un bermuda fleuri. Sorry c’est ma faute, tout les dégâts a mon compte…..

11 novembre 2010

La Rose Rouge

La Rose Rouge


Quand Sam a annoncé a July qu’il la quittée pour s’installer a New York, elle n’a pas pleuré elle est allée droit sur son balcon a pris le pot avec l’arbuste aux Roses Rouges et l’a jeté a la poubelle.

Sam lui avait offert ce pot aux couleurs bleu après la première fois qu’ils avaient fait l’amour, il y a de cela quatre ans. A chaque saison des Roses Rouges au parfum doux fleurissaient. July avait posé une chaise en bois sur le balcon, et quand l’air était doux et embaume par le parfum des roses, elle allumait une cigarette et se délassai, elle aimait ces moments.

Le pot aux Roses Rouges est arrivé le lendemain à la décharge publique et a été enfouit sous une masse nauséabonde.

Un rayon de soleil a fait briller le bleu du vase, un sans abris qui fouillait, la retirer et emporter dans sa cabane en tôle a la lisère de la ville. Des années durant il a fleuri sans que personne ne s’occupe, il a pris l’allure du buisson sauvage aux Roses Rouges.

Bien plus tard un temple réformiste a été construit à la lisière de la ville, l’entrepreneure à planter l’arbuste a cotee de la porte de service.

July suit un cours de chant dans une des salles du temple, elle vient toujours par la porte de service, sa main déformé par l’âge caresse chaque fois l’arbuste……

8 novembre 2010

Le Masque

Le Masque
Une photo de famille est posée prés d’un vase de fleures dans la grande maison de la Famille C…. Papa Maman et trois Enfants. Une maison confortable, moderne, de bon gout, une maison de cadre supérieure.
Papa et Maman se sont connues a l’Université, lui fils unique d’une mère infirmière et d’un père, obscure journaliste d’une revue spécialisée sur la pêche. Maman dernière née d’une famille de quatre enfants d’un milieu bourgeois. Tous les deux boursiers, travaillants a la caféterie du coin.
L’amour, le modeste mariage après les études, les enfants, Maman se transformant en femme d’intérieure et Papa travaillant dur pour arriver.
Papa est la réussite personnalisée. Bel homme, travailleur infatigable a monté rapidement touts les échelons de la réussite. Il voyage beaucoup, travaille tard dans la nuit ainsi qu’une partie des week-ends. Ses enfants l’aiment et le respect mais ne le connaissent pas. Sa femme, maintenant que ses enfants ont grandis fait du sport et joue au bridge. Tous les deux ont dépassé les quarante ans.
Papa rentre d’un long voyage épuisant. La maison est silencieuse, tout le monde dort.
Une douche chaude. Il enroule une serviette autour de ses hanches, la buée a couvert le miroir, Papa se regarde, il ne se reconnait pas, porte ses mains sur sa figure et retire un Masque, le pose sur la table et se regarde de nouveau a travers la buée, il se voit avec ses peurs et ses doutes, ses besoins et ses désires, son amour pour sa famille et ses angoisses, il voit tout ses rêves et ses cauchemars, il voit ce qu’il voudrai changer et ce qui lui manque, des larmes brouillent ses yeux, il tend la mains ver le Masque d’une personnalité, dure, arriviste, arrogante et le remet sur son visage….. Le Masque se dissous sur le visage, il se perd, il disparait….
Sur la pointe des pieds Papa rentre dans la chambre à coucher, s’allonge près de maman, l’enlace, pose un baiser sur son épaule nue et s’endort…

6 novembre 2010

A tous ceux qui lisent mes petits contes

A tous ceux qui lisent mes petits contes

Merci de lire mon Blog. Écrivez moi ce que vous pensez, J’aimerai savoir ou votre imagination vous emporte quand vous me lisez, Je voudrai savoir qu’elles sentiments mes contes réveillent en vous.

Alors écrivez-moi

Je suis impatiente, joignez-moi dans ce voyage

Merci

5 novembre 2010

L’Etoile

L’Etoile
Depuis l’enfance Roberta a été attirée par le ciel, les étoiles, l’immensité. Quand tout le monde dormait, elle se levait et aller a la fenêtré de sa chambre contempler les étoiles. Elle leur parler dans un langage propre a elle, elle été sure que la haut on l’écouter. Le Petit Prince offert par sa grand-mère paternelle pour ses huit ans, a été son compagnon pendant plusieurs années, encore aujourd’hui portant fièrement les marque des années il trône dans la place d’honneur de la bibliothèque.
Roberta dirige le faculté d’Astronomie a l’université, elle a réalisé dans un certain sens son rêve d’enfance, parlé aux étoiles.
A l’âge de cinquante-quatre ans Roberta est foudroyée par une hémorragie cérébrale, elle ne quittera jamais l’hôpital ni la chaise roulante. Elle peut à peine parler ou communiquer. Elle est placée dans un centre, sa chambre est confortable avec une immense fenêtre. Par signes elle fait comprendre qu’elle voudrait son lit prés de la fenêtre. Le Petit Prince la suivit, il repose sur sa table de nuit.
La nuit les rideaux restent ouvert, Roberta contemple les étoiles, elle dort très peux. Elle contemple son étoile préférée, la, la toute petite, au nord, celle qui n’a pas été nommée, celle qui brille avec des reflets comme des signaux morses.
Un collègue lui a offert une radio, Roberta aime la musique, la radio est branchée sur une station qui diffuse seulement de la musique légère.
La nuit quand elle se connecte avec son étoile, la radio émet dans un langage propre à elle, un léger sourire apparait….
Une nuit la petite étoile s’est éteinte. Les funérailles on eu lieu le lendemain, La nurse à jeter le Petit Prince a la poubelle……. Marco l’a retire de la poubelle et l’a ramené a la maison pour son fils Bobby qui commence à lire…….

4 novembre 2010

La Carte

LA CARTE

Mme. Miranda est tireuse de carte. Son pavillon est situé dans un quartier discret de la ville. Il est entouré d’un jardin aux plantes exotiques, les clients de Mme. Miranda font partie de la haute société de la ville. Ils viennent incognito chez elle. Ils sont toujours reçu avec du thé aux herbes qui pousse dans le jardin et des petits biscuits fait a la maison.

Mme. Miranda a un visage commun, une silhouette banale, dans la foule elle passe inaperçu, et cela donne confiance a ses visiteurs. La chambre ou elle reçoit aussi est des plus insignifiante une table ronde en bois, deux chaises confortables, aucun tableaux aux murs, le sol recouvert de bois brun . La seule chose qui attire le regard quand on est assis en face de Mme. Miranda se sont ses mains, et pas comme tout le monde le croirai ses yeux.

Les mains de Mme. Miranda sont uniques. Les paumes sont charnues et roses, les poignées forts, les doigts courts et gros, les ongles sont rondes courtes et de couleur cerise. Quand elle mélange ses cartes, un drôle bruit se fait entendre, click, clac, click click comme le coassement d’un corbeau en détresse.

Mme. Miranda reçois trois visiteurs par jour, pas plus, personne ne discutes ses prédictions, et tous reviennes toujours quel que soit les augures.

Aujourd’hui Mme. Miranda a une ligne sur son front, ses deux premier client ont tiré a chaque reprise la carte du Fou. La carte du fou symbolise l'enthousiasme et la liberté et aussi elle représente l'être irresponsable, emprunt d'inconscience et qui obéit à ses pulsions. Mais Mme. Miranda a toujours donné d’autre signification aux cartes. Elle voit toujours au-delà de ce qui est habituel, chaque carte a pour elle une sens différente qui change avec la personne qui est assise en face d’elle. Cette carte l’intrigue elle n’arrive pas a comprendre le message, a chaque fois sa vue a été brouillée, son corps a été couvert de sueur, son cœur s’est emballé. Elle a prétexté un malaise est annulée la séance. Le Fou la tracasse, elle ne le comprend pas aujourd’hui. Elle ne saisi pas le message. Et pourtant elle sait qu’il y a un message, simplement elle ne le voit pas.

Sa troisième cliente est une nouvelle, qui été recommandée par Mr. L’Ambassadeur R… Elle s’appelle Zoé. Elle arrivera à 19.30h

Une tasse de thé dans ses mains Mme. Miranda toujours soucieuse sort au jardin. Elle croit voire le Fou derrière chaque arbre, chaque plante, chaque fleur on dirait qu’il la poursuit. Elle est soucieuse, quelque chose va se déchainer…. Quoi ?

Zoe arrive a l’heure, elle est brune, le tient mat, habille tout en noire, elles sont assises l’une en face de l’autre, Mme. Miranda mélange les cartes click, clac, click click, Zoe tire une carte…Le Fou… Zoe ressemble a un corbeau en détresse… et soudain elle comprend, allez ma petite rentrer chez vous, vous aurez une longue vie, tout ira bien.

Mme. Miranda une petite valise à la main ferme sa porte et s’en va…..le Fou l’accompagne……..

2 novembre 2010

Le Parc

Le Parc

Dix bâtiments de trente trois étages encerclent le Parc. Le Parc est clôturé par une haute grille en fer forge, six portails ferment le parc a la tombée de la nuit. A six heures du matin les portails sont ouverts automatiquement par la central de control. Le Parc est surveillé vingt-quatre par des cameras, la central du control enregistre tout ce qui se passe dans le parc.

Les dix bâtiments et le Parc ont été construits au sud de la ville. Ce centre d’habitation est un modèle d’architecture à l’adaptation des émigrés dans leur nouveau pays. Écoles, crèches, centre commercial, usines, hôpital, procures services et travaille aux habitants. Tout est visualisé par la central de control.

Le Parc est plein d’activités tout le temps, le parcoure de jogging, les coins d’attractions pour les enfants, les pelouses, le lac du cote nord, les massif de fleures, les bancs dispersés tout est entretenue méticuleusement. Le dimanche et les jours de fêtes, le Parc abrite des concours sportif pour tous les âges. Ce projet de centre d’habitation est la fientée de la ville. Des expert du monde entier viennes visiter, plusieurs pays ont déjà commences la construction en adaptant les mêmes idées.

La nuit le Parc vit une autre vie, les vrais émigrants sont la, ils ont laissé leur vêtements chez eux et aucune camera ne peut les capter……..

la Déchirure Francais-Anglais-Hebrew

  Déchirure Son amie fêtait son anniversaire. Elles avaient décidé de dîner ensemble dans un nouveau restaurant japonais, inauguré près du ...