Hotel
Rooms in New York
Rooms in New York's big hotels are very spacious; they
are as large as a standard European apartment.
I scan a room on the top floor of this luxurious
hotel, the door opens to a spacious hall, on the right the bathroom, modern,
comfortable, luxurious, clean and shining, bath salts, cremes, and expensive
body lotions, remains at the bottom of the tub, some perfume, memories of
intimate moments.
The room, a soft carpet in light gray cover the floor,
a desk with pamphlets, prints representing New York of 1900 on the walls, a
huge bed with some sort of disorder on the bedding attests to a certain
meeting, remains of mixed smells still in the air.
A huge window, New York lights similar to blinking
diamonds, one can turn off the lights, New York alight, New York lives in this
room.
New York was admired in a deep armchair extended for
the comfort of feet, one tone darker than the carpet positioned near the
window, it still shows alive prints of bodies that used it.
Margarita, the chamber maid puts on the lights, picks
up the bathrobes from the bed's side, New York's lights fade with the
approaching sunrise.
Chambre d'Hôtel à New York
Les Chambres dans les grands hôtels de New York sont très
spacieuses, elles ont la surface d'un
appartement moyen en Europe.
Je parcours une chambre au dernier étage de cet hôtel
luxueux, dès que l'on ouvre la porte un grand hall avec une penderie, à droite
la salle de bain, moderne, confortable, luxueuse, étincelante de propreté, des
sels de bain, des crèmes, des articles de luxe pour le corps au fond de la baignoire
les restes d'un bain, une légère mousse, un parfum, souvenir des instants d'intimité.
La chambre, un tapis moelleux aux tons de gris claire
couvre la plancher, un bureau avec des
brochures, des estampes représentant le
New York des années 1900 aux murs, une TV ultra moderne, un énorme double lit ou
draps, couvertures et coussins sont dans
un certain désordre témoignent une
certaine rencontre, des effluves d'odeurs
mélangées sont encore présentent .
Une énorme fenêtre, les lumières de New York comme
des diamants étincelles, on peut éteindre l'éclairage de la chambre, New York illumine,
New York vit dans cette chambre.
New York a été admiré d'un profond fauteuil rallongé d'un tabouret pour
les jambes aux tons plus foncé que la moquette posé près
de la fenêtre, les marques de deux corps qui se confondant sont vivantes…
Margarita, la femme de chambre allume l'éclairage, ramasse deux peignoirs
de bain au bord du lit, les lumières de New York palissent avec l'aube qui
s'annonce…
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