7 décembre 2012




Hotel Rooms in New York


Rooms in New York's big hotels are very spacious; they are as large as a standard European apartment.

I scan  a room on the top floor of this luxurious hotel, the door opens to a spacious hall, on the right the bathroom, modern, comfortable, luxurious, clean and shining, bath salts, cremes, and expensive body lotions, remains at the bottom of the tub, some perfume, memories of intimate moments.


The room, a soft carpet in light gray cover the floor, a desk with pamphlets, prints representing New York of 1900 on the walls, a huge bed with some sort of disorder on the bedding attests to a certain meeting, remains of mixed smells still in the air.

A huge window, New York lights similar to blinking diamonds, one can turn off the lights, New York alight, New York lives in this room.


New York was admired in a deep armchair extended for the comfort of feet, one tone darker than the carpet positioned near the window, it still shows alive prints of bodies that used it.


Margarita, the chamber maid puts on the lights, picks up the bathrobes from the bed's side, New York's lights fade with the approaching sunrise.




Chambre d'Hôtel à New York



Les Chambres dans les grands hôtels de New York sont très spacieuses, elles ont la  surface d'un 
appartement moyen en Europe.

Je parcours une chambre au dernier étage de cet hôtel luxueux, dès que l'on ouvre la porte un grand hall avec une penderie, à droite la salle de bain, moderne, confortable, luxueuse, étincelante de propreté, des sels de bain, des crèmes, des articles de luxe pour le corps au fond de la baignoire les restes d'un bain, une légère mousse, un parfum, souvenir des instants d'intimité.

La chambre, un tapis moelleux aux tons de gris claire couvre la plancher, un bureau avec des 
brochures, des estampes représentant le New York des années 1900 aux murs, une TV ultra moderne, un énorme double lit ou draps, couvertures  et coussins sont dans un certain  désordre témoignent une certaine rencontre,  des effluves d'odeurs mélangées sont encore présentent .

Une énorme fenêtre, les lumières de New York comme des diamants étincelles, on peut éteindre l'éclairage de la chambre, New York illumine, New York vit dans cette chambre.  

New York a été admiré d'un  profond fauteuil rallongé d'un tabouret pour les jambes aux  tons plus foncé  que la moquette  posé  près de la fenêtre, les marques de deux corps qui se confondant sont vivantes…


Margarita, la femme de chambre allume l'éclairage, ramasse deux peignoirs de bain au bord du lit, les lumières de New York palissent avec l'aube qui s'annonce… 









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