16 octobre 2010

Gibberish


Gibberish

Peter entend son BlackBerry emmètre un son en sortant de sa douche matinale, une serviette enroule autour de ses hanches il va vers son appareil, un mail, il l’ouvre, peut pas lire, du Gibberish, tant pis il l’ouvrira sur son pc au bureau

Coffee, un coup d’œil aux titres du journal, bisous à sa Femme et à ses trois Gosses il sort. Le PC portable de sa Femme posee sur la table de la cuisine annonce un mail, elle va voir. Gibberish, elle hausse les épaules surement un spam. Elle quitte l’appartement avec les enfants Le PC toujours ouvert

En route pour son travail Peter reçoit encore deux mails en Gibberish. Au bureau son PC travail normalement, des mails arrivent régulièrement, mais les trois mails reçus sur son BlackBerry reste illisibles

A la maison le PC portable reçoit aussi des mails en Gibberish et des mails normaux

Peter a une longue journée de travail, avant de quitter il efface les mails en Gibberish, sa Femme fait de même une fois rentrer a la maison

Le soir, Papy dans sa maison, se préparant une tisane se demande pourquoi ses enfants de 
lui ont pas répondu aujourd’hui a ses mails ? Sa tasse tombe par terre et se casse……
Le repas de famille est bruyant comme d’habitude…… Aucun mail en Gibberish n’arrive
 pas…..

Le Train



                                                    Le Train

Une Gare a l’architecture moderne, tout  en verre et en chrome. Du plafond en verre une lumière laiteuse diffuse, le sol en marbre blanc veiner de bleu pale reflète la lumière, tout le reste est en chrome couleur argent. 

Dans cette Gare  il n’y  pas de guichets, pas de tourniquets, pas de gardiens, dans cette Gare il  y a seulement des voyageurs. En ce moment, la Gare est pleine de voyageurs qui attendent le Train. Il y a des couples, des hommes, des femmes, ils n’ont pas de bagages, ils ont un certain âge. Pourtant certain jours il y des  jeunes, des d’enfants, parfois toute une famille groupée ensemble, les dépars ne sont jamais homogènes. .. Cela dépend…

Le Train aussi est super moderne et super rapide, lui aussi est tout en chrome. Les voyageurs ici sont tous jeunes, hommes, femmes tous très jeunes, tous ont un sac au dos avec leur pc personnel. Le Train arrive toujours a l’heure, il sort des nuages, s’arrête, ses portes coulissantes déversent  les jeunes passagers vers l’entrée, de la sortie du départ, les autres s’avancent vers le Train, parfois, certain regards se croisent, certain sourire se dessinent, certains vœux volent dans l’air. Les portes coulissantes se ferment.

 Le Train quitte la gare et part dans les nuages….


15 octobre 2010

Mr. Max



Mr. Max

Mr. Max est le portier de cet immeuble de trente étages depuis quarante ans. Dans deux jours il prendra se retraite. Assis dans le hall de l’immeuble à son bureau devant trois écrans de surveillance, il passe en revue toutes ces années passes dans l’immeuble ainsi que les locataires

 Il ouvre le registre est inscrit l’heure de son arrive. Mr. Max est gaucher

Mr. Max est bel homme, genre Gary Cooper, dans son uniforme il a l’air très convenable, dans ses
 habits de chaque jour il a l’air d’un prince, Mr. Max a soixante-cinq ans, il parait dix de moins, dans l’immeuble presque tout le monde le respecte, même la vielle Mme. Smith aime bavarder avec lui

Mr. Max se souvient de chaque locataire qui a habite dans l’’immeuble, il a de bons souvenirs. Surtout de la famille Rosenfeld, ils se sont installés dans l’immeuble un an après son engagement comme gardien de nuit, il était alors étudiant en Histoire a l’université et ce job lui permettait de payer ses études. Il se souvient surtout la défunte Caroline Rosenfeld. L’appartement est habite maintenant par leur fils Alber

Mr. Max a aimée son travail, parfois il a un pincement au cœur en pensant que dans deux jours il sera remplacé par Mr. Félix

Bonjour Mr. Albert, un paquet pour vous

Mr. Albert tend la main gauche……

Les Limbes


Les Limbes

Si on regarde les dictionnaires sur la signification « Des Limbes » cela est macabre, par exemple
‘’Dans la religion chrétienne, séjour où les justes attendent la Rédemption; séjour des enfants morts sans baptême ‘’

Pourtant pour certains Les Limbes on une autre signification : Un endroit un peut flou, un genre de brouillard doux, bleu pale plane sur cet endroit, les arbres, les fleures les animaux qui vivent sont comme si ils étaient dessines a l’aquarelle par une artiste utilisant seulement les couleurs pastels. Le seul bruit et le bruit d’un vent léger faisant frémir les feuilles des arbres.

 Les âmes, sont la, des petits chérubins, regardant notre planète et peut-être d’autres planètes ou un certain genre de vie existe, ils regardent les couples qui font l’amour pour choisir leurre future parent. Entre temps ils s‘amusent, jouent, chantent, vois-la un d’eux regarde attentivement un couple, peut-être ! Non une autre fois peut-être. Tout est tellement calme ici, et le, en bas ce n’est vraiment pas amusant !!!!!!
Je reste…

13 octobre 2010

Le Tableau

Le Tableau

La ville la plus peuplée du monde, 17h des milliers d’hommes et femmes se déversent sur l’Avenue après une journée de travail, Rica est parmi eux. Sa journée a été bonne son projet sur la plantation des arbres dans un nouveau cartier au Sud de la ville a été accepter par la direction. De long mois de travail devant elle dans ce nouveau cartier, elle aime cela

Elle a envie de flâner avant de rejoindre ses amis pour dîner au village

Une boutique de lingerie l’attire, elle se laisse tenter par un pyjama duveteux aux couleurs gris perle

Elle tourne à droite pour rentrer chez elle, elle flâne, regarde les vitrines, le temps est doux, une galerie d’art sans prétention se trouve enter une librairie et un magasin de chaussures orthopédiques. Un petit tableau attire son regard, il lui rappelle l’Angélique d’Ingres dans le mouvement, elle sourit et elle rentre pour demander le prix, un peintre inconnue qui n’est pas venu le réclamer il y longtemps, ce tableau est la depuis des années, le prix est dérisoire, elle voit déjà sa place dans sa chambre à coucher

 Chez  elle, elle nettoie la poussière de son tableau les couleurs sont plus vives et le mouvement est décidément presque le même que l’Angélique. Elle l’accroche, sa lampe de chever l’illumine, il a trouvé sa place

Elle court à la douche et se presse pour arriver a temps à son diner. Le pyjama l’attendra à son retour, sur le lit

Dans une ville industrielle, a des milliers de km. Mark sort pour sa pause de l’atelier de meubles en bois, ouvre son thermos, et son calepin, il dessine comme toujours depuis vingt ans une Angélique, mais cette fois elle ne sera pas nue, peut-être quelque chose de gris perle sur elle….Il sourit

12 octobre 2010

Le Singe


Le Singe

Le singe Macko s’est évadé du Jardin Botanique de la ville 
pendant la nuit

Macko se promène dans la ville librement, personne de fait attention a lui, il traverse les rues aux feux verts, rentre dans un bistro pour manger et boire et choisi le dernier filme de Spielberg pour terminer sa soirée

A la sortie du cinéma il se dirige vers le parking, conduit sa voiture vers son  apartment 

Un dernier Whisky avant de dormir

Le réveil le réveille a 6h30 pile, douche, café fort et au travail

Le sourire de sa réceptionniste, le bonjour de sa secrétaire lui tendant son courrier, le bureau avec vue sur la city, un café Epresso et la journée commence

Au jardin Botanique on ne s’aperçoit pas de la disparition de Macko……….

Au bureau BUSINESS AS USUAL

La Poupée


La Poupée


Une froide nuit d’hiver, début du mois de Décembre, la température est 10degres sous zéro, la neige a durci, les arbres sont figes, la nature dort.

Une  nuit claire et froide. Des milliers  d’étoiles regardent notre terre, un vaisseau spatial s’approche doucement et se pose sur la neige gelée, des lumières couleurs oranges clignotent, tout est calme, une soupape s’entrouvre et un être éthéré se glisse dehors, c’est une femme….tout en elle est transparent sa longue chevelure, sa robe, ses bras qui tiennes une Poupée.

Elle se dirige vers la maison, ses pieds ne touche pas le sol, elle glisse dans l’air, elle s’approche de la maison, sans difficulté elle traverse la fenêtre du deuxième étage, pose la Poupée à cote de l’enfant  endormie, la chambre est chaude, l’enfant respire tranquillement, des étagères garnie de jouets couvrent un des murs, elle regarde l’enfant des larmes transparentes envahissent son visage, elle se retourne et repars, des lumières verte clignotent et le vaisseau spatial prend sa place parmi les étoiles qui nous regardent.

L’enfant se retourne enlace la Poupée et sourit dans son sommeil.

Dans la chambre contiguë, le père se réveille avec une étrange sensation, il regarde la photo posée prés du lit, Lui, Elle, L’enfant et la Poupée qu’ils lui avaient offerts pour ses deux ans.  Des larmes brouillent sa vue, la photo devient transparente, flou, éthérée…

la Déchirure Francais-Anglais-Hebrew

  Déchirure Son amie fêtait son anniversaire. Elles avaient décidé de dîner ensemble dans un nouveau restaurant japonais, inauguré près du ...