18 janvier 2013


 Ombre et Lumiere

 Tu m'as offert un dernier cadeau
Un cadeau d'adieu
Un cadeau pour ta conscience
Sans un sourire, sans un remord
Tu es parti
Une ombre sombre  a couvert
L'immense soleil
D'une belle journée de Novembre.
L'Ombre a envahi
L'orage a éclaté déversant
Des tonnes de pluie
Pareilles aux larmes de mon âme.

Un click son sur mon PC
Un message, une figure inconnue
Coffee or The
Un visage souriant
Coffee or The
La lumière sur un visage
On hésite
La lumière envahit le soleil
On sourit……
Pouquoi pas



5 janvier 2013



Le Cœur

Deux filles et deux garçons montent la montagne à la recherche d'un endroit où passer la nuit. Ils ont marché toute la journée à la recherche d'une certaine fleur qui pousse dans cette région  pendant une courte période. Ils sont fatigués, la fleur n'a pas été découverte, ils décident de passer la nuit sur la montagne, le temps est doux et chacun a un sac de couchage.

Ils ont trouvé une cave assez spacieuse pour eux, on allume un feu, du pain, des boites de conserve qu'on se partage, de l'eau, quelques cigarettes,  on bavarde, la nuit tombe, les étoiles apparaissent, une des filles commence à creuser un trou au fond de la cave  pour enterrer les restes du repas, elle creuse à la lumière de sa torche.

Sa pelle heurte un objet, elle creuse autour, elle appelle ses amis, tous se mettent à l'œuvre,  quatre torches illuminent l'ouverture , le bout d'une flèche apparaît;  on  dégage tout autour, la flèche est enfoncée dans  quelque chose qui palpite, on creuse, un cœur apparaît, il vit, la flèche l'a transpercé; doucement, avec leur mains, ils retirent le cœur, le pose sur un sac de couchage, le regarde, il frémit, il ne saigne pas,  regardant attentivement, ils découvrent d'autres flèches de différentes grandeurs et de différentes formes,  doucement avec tendresse ils  les retirent, des gouttes de sang apparaissent autour des trous puis les cicatrisent,  les flèches posées autour, le cœur a l'air d'une passoire, la lune se lève en face de la cave, elle fait pâlir les étoiles dans sa splendeur, elle illumine la cave, le cœur  absorbe par ses trous cette lumière, il se réchauffe, il revit, il est guéri…….



19 décembre 2012



Incognito

I enjoy walking and taking pictures,  sitting in a café watching people go by, each one with his life, his story, his joys and sadness, sometimes I click and a story emerges and I write and at times forgetting this sensation, something beautiful takes my breath away, often that of a face and normally my Muse appears and I start to write. 

I enjoy people going to the market, I think they're special, depending on the day, the hour and the time. I like looking at the merchants standing in front of their stands, dressed in their outfits and hats which change with the seasons, I enjoy  the women choosing their vegetables, looking at them, weighing them and even smelling them, I enjoy watching the men visiting the stands with their shopping list in hand, for me shopping bags have a life of their own  with their size, their form and colour revealing  to me who their families are, a small shopping bag for a family of two, a medium sized one for mom and dad and two children and a large one for the whole family coming over for dinner tomorrow night . 

Yesterday, while strolling through the market place, a woman caught my eye and I clicked !

Suffering from my usual insomnia, I transferred my pictures to my pc ...  the woman appears, I recognize myself, I see myself again, the course of my life flashes before me, a dimension unknown to me reminds me that all is possible ....





Incognito

J'aime marcher  et photographier, assise dans un café j'aime regarder les gens passer, chaque
 personne avec sa vie, son roman, sa joie et sa tristesse, parfois je clique et une histoire jaillit et j'écris, parfois j'oublie cette sensation, souvent une beauté me coupe le souffle,  fréquemment dans un visage quelconque, dans l'ordinaire ma muse m'apparaît et j'écris.

J'aime les gens qui fréquentent les marchés, je trouve qu'ils sont spéciaux, cela dépend des jours, de l'heure du temps. J'aime les marchands devant leur étalages, avec leur vêtements et leur chapeaux qui changent suivant les saisons, j'aime voire les femmes choisirent les légumes, les regarder, les palper et souvent les sentir, j'aime voire les hommes une liste d'achats à la main visitant les étalages, les cabas pour moi ont leur propre vie, leur dimension leur forme, leur couleur me localisent les familles, un petit cabas pour deux, un moyen papa maman et deux enfants, un grand toute la famille á dîner demain soir.

 Hier en flânant dans un marché ambulant une femme  s'est accrochée à mon regard et j'ai fait click….

Une insomnie habituelle, je range mes photos sur mon pc…. La femme apparaît je me reconnais, je me revois je vois le parcours de ma vie, une dimension que je ne connais pas me rappelle que 
tout est possible……




J'aime marcher et photographier, assise dans un café j'aime regarder les gens passer, chaque
personne avec sa vie, son roman, sa joie et sa tristesse, parfois je clique et une histoire jaillit et j'écris, parfois j'oublie cette sensation, souvent une beauté me coupe le souffle, fréquemment dans un visage quelconque, dans l'ordinaire ma muse m'apparaît et j'écris.

J'aime les gens qui fréquentent les marchés, je trouve qu'ils sont spéciaux, cela dépend des jours, de l'heure du temps. J'aime les marchands devant leurs étalages, avec leurs vêtements et leurs chapeaux qui changent suivant les saisons, j'aime voir les femmes choisir les légumes, les regarder, les palper et souvent les sentir, j'aime voir les hommes une liste d'achats à la main visitant les étalages, les cabas pour moi ont leur propre vie, leur dimension leur formes, leur couleur me localisent les familles, un petit cabas pour deux, un moyen papa maman et deux enfants, un grand toute la famille à dîner demain soir.

Hier en flânant dans un marché ambulant une femme s'est accrochée à mon regard et j'ai fait clic….

Une insomnie habituelle, je range mes photos sur mon pc…. La femme apparaît je me reconnais, je me revois, je vois le parcours de ma vie, une dimension que je ne connais.
Chat conversation end




J'aime marcher et photographier, assise dans un café j'aime regarder les gens passer, chaque
personne avec sa vie, son roman, sa joie et sa tristesse, parfois je clique et une histoire jaillit et j'écris, parfois j'oublie cette sensation, souvent une beauté me coupe le souffle, fréquemment dans un visage quelconque, dans l'ordinaire ma muse m'apparaît et j'écris.

J'aime les gens qui fréquentent les marchés, je trouve qu'ils sont spéciaux, cela dépend des jours, de l'heure du temps. J'aime les marchands devant leurs étalages, avec leurs vêtements et leurs chapeaux qui changent suivant les saisons, j'aime voir les femmes choisir les légumes, les regarder, les palper et souvent les sentir, j'aime voir les hommes une liste d'achats à la main visitant les étalages, les cabas pour moi ont leur propre vie, leur dimension leur formes, leur couleur me localisent les familles, un petit cabas pour deux, un moyen papa maman et deux enfants, un grand toute la famille à dîner demain soir.

Hier en flânant dans un marché ambulant une femme s'est accrochée à mon regard et j'ai fait clic….

Une insomnie habituelle, je range mes photos sur mon pc…. La femme apparaît je me reconnais, je me revois, je vois le parcours de ma vie, une dimension que je ne connais.
Chat conversation end

J'aime marcher et photographier, assise dans un café j'aime regarder les gens passer, chaque
personne avec sa vie, son roman, sa joie et sa tristesse, parfois je clique et une histoire jaillit et j'écris, parfois j'oublie cette sensation, souvent une beauté me coupe le souffle, fréquemment dans un visage quelconque, dans l'ordinaire ma muse m'apparaît et j'écris.

J'aime les gens qui fréquentent les marchés, je trouve qu'ils sont spéciaux, cela dépend des jours, de l'heure du temps. J'aime les marchands devant leurs étalages, avec leurs vêtements et leurs chapeaux qui changent suivant les saisons, j'aime voir les femmes choisir les légumes, les regarder, les palper et souvent les sentir, j'aime voir les hommes une liste d'achats à la main visitant les étalages, les cabas pour moi ont leur propre vie, leur dimension leur formes, leur couleur me localisent les familles, un petit cabas pour deux, un moyen papa maman et deux enfants, un grand toute la famille à dîner demain soir.

Hier en flânant dans un marché ambulant une femme s'est accrochée à mon regard et j'ai fait clic….

Une insomnie habituelle, je range mes photos sur mon pc…. La femme apparaît je me reconnais, je me revois, je vois le parcours de ma vie, une dimension que je ne connais.
Chat conversation end

7 décembre 2012




Hotel Rooms in New York


Rooms in New York's big hotels are very spacious; they are as large as a standard European apartment.

I scan  a room on the top floor of this luxurious hotel, the door opens to a spacious hall, on the right the bathroom, modern, comfortable, luxurious, clean and shining, bath salts, cremes, and expensive body lotions, remains at the bottom of the tub, some perfume, memories of intimate moments.


The room, a soft carpet in light gray cover the floor, a desk with pamphlets, prints representing New York of 1900 on the walls, a huge bed with some sort of disorder on the bedding attests to a certain meeting, remains of mixed smells still in the air.

A huge window, New York lights similar to blinking diamonds, one can turn off the lights, New York alight, New York lives in this room.


New York was admired in a deep armchair extended for the comfort of feet, one tone darker than the carpet positioned near the window, it still shows alive prints of bodies that used it.


Margarita, the chamber maid puts on the lights, picks up the bathrobes from the bed's side, New York's lights fade with the approaching sunrise.




Chambre d'Hôtel à New York



Les Chambres dans les grands hôtels de New York sont très spacieuses, elles ont la  surface d'un 
appartement moyen en Europe.

Je parcours une chambre au dernier étage de cet hôtel luxueux, dès que l'on ouvre la porte un grand hall avec une penderie, à droite la salle de bain, moderne, confortable, luxueuse, étincelante de propreté, des sels de bain, des crèmes, des articles de luxe pour le corps au fond de la baignoire les restes d'un bain, une légère mousse, un parfum, souvenir des instants d'intimité.

La chambre, un tapis moelleux aux tons de gris claire couvre la plancher, un bureau avec des 
brochures, des estampes représentant le New York des années 1900 aux murs, une TV ultra moderne, un énorme double lit ou draps, couvertures  et coussins sont dans un certain  désordre témoignent une certaine rencontre,  des effluves d'odeurs mélangées sont encore présentent .

Une énorme fenêtre, les lumières de New York comme des diamants étincelles, on peut éteindre l'éclairage de la chambre, New York illumine, New York vit dans cette chambre.  

New York a été admiré d'un  profond fauteuil rallongé d'un tabouret pour les jambes aux  tons plus foncé  que la moquette  posé  près de la fenêtre, les marques de deux corps qui se confondant sont vivantes…


Margarita, la femme de chambre allume l'éclairage, ramasse deux peignoirs de bain au bord du lit, les lumières de New York palissent avec l'aube qui s'annonce… 









2 décembre 2012








Si Dieu était Femme
Très souvent je me demande, comment
!! l'humanité aurait évalué si on avait couronné Dieu au feminin

?Quelles lois et quels codes auraient été différents

 ?Le nom de Dieu est-il feminin ou masculin

Quel aurait été le role de l'homme s'inclinant devant des lois écrites     par un Dieu feminin

 Aurait-on fait une statue de Dieu femme comme Diane la chasseresse 
 ?ou une Aphrodite, aurait-elle été belle? Musclée? Douce? Arrogante

Les structures des nations auraient-elles été diffé rentes? La famille         dans le contexte d'aujourd'hui aurait-elle survie

Dieu au féminin aurait-elle détourné les guerres, les génocides?  Aurait-elle permis la survie d'autres Dieux d'autres religions

Dieu est femme mon ami( e), oui elle est femme quand tu vois la nature, la beauté, la joie, la tendresse, l'amour, Dieu est Femme
!!!!!!!!!!!!!!!!!!

25 novembre 2012


Jours de Pluie

Des éclairs, des tonnerres et la pluie comme un déluge qui se déverse  sur les rues, des passants qui ouvrent leur parapluie multicolores qui égaient les rues grises, des flaques énormes qui se forment, des feuilles mortes aux couleurs d'automne dansent leur valse,  des égouts qui débordent, 
Jours de Pluie ou le premier plat au souper est la soupe.

Jours de Pluie qui purifient les âmes, qui rapprochent ceux qui se regardent et se touchent, qui 
éloignent les autres.

Une tasse de chocolat chaud proche d'un verre de cognac, des mains qui se cherchent en regardant un filme stupide, un solitaire qui allume une cigarette en regardant par la fenêtre, une solitaire qui promène  son chien sous un parapluie noire.

Jours des Pluie  la terre assoiffée se gonfle et donne vie à des milliers de graines, des vies se forment et d'autres se noient, des racines charrient la nourriture aux arbres.

Le soleil avant de disparaître offre un arc en ciel en cadeau, un tonnerre, un éclaire.

Un Jour de Pluie tout simple.




8 novembre 2012






A Banal -timeworn- Story



 She arrived from a warm country, stranger to the cold, the rain and fog that surrounded the city. She shivered,  her long hair, revolting to the freezing touch of the wind.



He was waiting at the airport exit, balding blond, very tall, dressed warm, his Indian driver taking charge of her case, an exchange of smiles, a reunion, the hope of a new beginning.



The cozy and elegant studio welcomed her warmly, the lampposts on the opposite park blinking their approval, he prepared a nice warm bath, she wrapped her hair in a towel sinking into  the lavender scented water, he knocked gently, walked in carrying a crystal glass filled with cherries, a thought, maybe a promise?


A timeworn - banal- story with tenderness and tears, with breakups and reconciliations, with projects and let downs. A banal story with intimate dinners and boring celebrations, trips and quiet evenings. A timeworn story which will last a while or maybe not at all.


A banal story written tonight on my PC, a timeworn story which could have been not banal at all.

https://mail.google.com/mail/ca/u/0/images/cleardot.gif


UNE HISTOIRE BANALE



 Elle arrivait d'un pays chaud, elle était étrangère au froid, à la pluie et à la brume qui enveloppait la ville. Ses longs cheveux se révoltaient au contact de ce climat, elle frissonna.

 Lui, l'attendait à la sortie de l'aéroport, blond presque chauve, très haut, habillé chaudement; son chauffeur hindou la déchargea de sa valise, un échange de sourires, une reconnaissance, un espoir d'un début.

Le studio élégant et confortable l'accueillit chaudement, les lampadaires du parc en face lui clignotaient la bienvenue, il lui fit couler un bain chaud, elle enroula ses cheveux dans une serviette et se coula dans une eau parfumée à la lavande, il frappa doucement à la porte, entra portant une coupe en Crystal remplie de cerises, une attention, la promesse d'un peut-être?

Une Histoire Banale avec des tendresses et des larmes, avec des séparations et des retrouvailles, avec des projets et des écroulements. Une Histoire Banale avec des repas intimes et des fêtes ennuyeuses, des voyages et des soirées calmes Une Histoire Banale qui durera longtemps ou pas du tout.

Une Histoire Banale écrite ce soir  dans mon lit sur mon PC,  Une Histoire Banale qui aurait pu n'être pas Banale. 
-- 

la Déchirure Francais-Anglais-Hebrew

  Déchirure Son amie fêtait son anniversaire. Elles avaient décidé de dîner ensemble dans un nouveau restaurant japonais, inauguré près du ...