27 septembre 2010

Aéroport




Aéroport

Un grand aéroport en EU, ou des milliers de personnes de tout les coins du monde passent  


Ce jour la, comme chaque jour des centaines d’avions arrivent de tout part, dans l’un Ralf est assis, prés du hublot. L’avion se dirige vers cette ville qu’il a quitté il y a plus de vingt ans, alors un tout jeune homme, quitté peut-être n’est pas le terme juste, il a fuit, des flashes d’images lui rappellent ce jour, le temps pluvieux, le froid de l’appartement de ses parents, la tristesse dans leur regards, la peur cachée dans tout les coins, le tout petit bagage qu’il avait préparé, la dernière étreinte avec ses parents, descendre les escaliers en courant, courir pour son dernier rendez-vous avec Lilly au tournant de la rue qui mène a la place. Lilly tout tremblante dans ses bras un dernier baiser, la regarder disparaitre sous la pluie avec son manteau noire et son petit chapeau rouge
.
De son hublot Ralf distingue les premières lumières de la ville, le petit chapeau rouge de Lilly apparait a sa mémoire comme toujours dans sa vie. Ou est-elle ? A-t-elle disparue comme ses parents, Il n’á jamais cesse de penser a elle, sa famille, ses enfants, ses affaires, ont toujours laissé une place pour cette image d’elle disparaissant dans la pluie avec son petit chapeau rouge……

L’avion se pose, tout le monde se prépare à sortir, Ralf a un tout petit bagage, son pc et deux chemises il est la pour 36 heures a fin de signer un contrat de vente. Il se dirige vers la sortie ou un chauffeur de la compagnie doit l’attendre avec une pancarte avec son nom. Fatigue il se dirige vers la sortie en cherchant sont nom parmi la foule qui attend, il voit la pancarte Ralf ..
 Tenue par une jeune femme portant un tout petit chapeau rouge……..

Ralf rentrera chez lui dans une boite en bois………

26 septembre 2010

Le Cerveau De Gérard




Le Cerveau De Gérard

Gérard est très vieux. Un des rares survivants de sa génération, il est assis sous un arbre dans le jardin de la maison de retraite ou il se trouve

Il est calme, il est satisfait, il est presque heureux

Sa paume est ouverte vers le ciel et à l’intérieure repose son cerveau

Son organe préféré, c’est grâce a lui qu’il a vécu longtemps et pleinement

Gérard observe son cerveau, vois-la la partie ou est enregistre son enfance, la berceuse de sa mère et l’attention de son père pour lui, un doux remerciement a eux, une autre partie, son premier amour son premier orgasme le font sourire, la partie de ses études le font transpirer ses réussites le laissent froid, de partie en partie Gérard visite son cerveau, il y a tellement….Il y a des parties qu’il voudrait oublies d’autres qu’il voudrait le revivre

Gérard observe son organe préféré, une dernière fois, un partie l’attire la partie la plus encombrée, la partie ou les souvenirs de tout ses morts sont enregistrés il sourit et plonge dedans……

Deux Hommes et une pensée




Deux Hommes et une pensée


L’heure du crépuscule

N’ importe où, une ville au bord d’un Océan, le nom de la ville, le nom de l’Océan, n’ont pas d’importance, fermez les yeux et vous serez la, vous sentirai l’odeur, vous entendrez le bruit des vagues, vous sentirez le sel sur vos lèvres ….alors pourquoi nommer les places, les personnes….

Deux hommes assis en face de l’immensité, ils ne se connaissent pas, ils ne se sont jamais rencontrer, ils ne parlent pas les mêmes langues, physiquement ils sont très différents, leurs professions sont l’opposée l’une de l’autre, ils appartiennent a des races différentes, leurs ancêtres autrefois se sont fait la guerre, pourtant ils sont assis l’un  prés  de l’autre, comme deux vieux amis qui n’ont pas besoin de parler pour se comprendre.

Doucement la nuit tombe, des milliers d’étoiles s’allument dans le ciel, nos amis sont toujours la assis, presque immobile, le seule bruit et le bruit des vagues, ils sont la toute la nuit jusqu'à l’aube, la pensée qui les a réunis  vat-elle se réalisée a l’aube ?

La nuit prend son temps, elle s’éternise…..puis les étoiles doucement  commencent a pâlir, le ciel lentement s’éclairci, la pensée est la, elle commence à se réaliser avec chaque vague qui vient sur le rivage, dans la clarté du nouveau matin, la pensée  se forme, nos amis l’observe, la pensée, doucement avec le jour qui avance se matérialise, vaguement encore dans des formes pas tout a fait claires, solennellement comme la réalisation d’une prière  deux formes se dégagent des vagues,   le couple, que la pensée de nos amis ont fait naitre, pour un nouveau commencement,   un nouveau monde une nouvelle conscience…….


25 septembre 2010

Le Nouvel An de Frederica



Le Nouvel An de Frederica

31 Décembre 17.00h de l' âpres midi, la ville  est illuminée par des milliers des couleurs   pour accueillir le nouvel an,  les arbres  habillés de guirlandes et de lumières multicolores illuminent  les boulevards et les rues , les avenues  plein de passants et de voitures qui roulent doucement  pour s’imprégner de cette atmosphère féerique, les monuments majestueux vestiges d’autre époques sont décorés avec des drapeau aux armes de la ville,  tout cela est  comme une promesse d’un nouveau changement, d’un nouveau avenir, d’une nouvelle renaissance.

Cette ville tout brillante pour la nouvelle année où tout le monde se dirige vers sa maison, sa famille, ses amis, ses amants, ses amantes, est entourée d’une  forêt  d’immenses arbres peut commun dans d’autre régions. A mesure que la nuit s’installe dans la région le ciel se couvre de nuages, la lumière  du jour baissant on peut trouver une ressemblance de  cette ville avec  un diamant pose sur du velours noire

Parlons un peut des arbres, leur tronc large est couvert d’une mousse couleur de rouille, le tronc est long, flexible et très fort, les branches commence a dix mettre de la  terre sont elles aussi flexible et fortes, couverte de feuilles large en forme de méduse d’une teinte vert fonce tacheté de veines blanches,  les fruits de ces arbres sont petits,  groupées par grappes sont de la même couleur que la mousse qui couvre les arbres, si on ose les manger elles ont un goût d’amandes  brûlées. 

Ces arbres sont majestueux, dans leurs feuillages des oiseaux aux plumages longs  de couleurs noire et rouge  règnent en maîtres, leur nids énormes se confonds aux  feuillages et sont presque invisible.  Ces oiseaux sont les rois de cette région. Les racines de ces arbres sont profondément enfoncées dans le sol, comme  les troncs des arbres elles sont souple et fortes  et vont chercher la nourriture profondément dans la terre et parfois  dans des puits souterrains.

Qui est Frederica ? Qu’elle est cette région ?

Frederica et notre héroïne celle qui cette nuit de 31 Décembre va nous faire découvrir  le changement. 
  
Elle se dirige vers sa maison, les bras charges des derniers achats pour le souper de ce soir. Elle marche d’un pas vif et précis, son long manteau brun la protège de la brume, sa tête est couverte d’un chapeau couleur vert en grosse laine, des gants de la même couleur. Son allure élégante est en harmonie avec  toute la ville.

 Un de nos oiseaux la suit très haut dans le ciel au delà des brumes.

 Arrive chez elle, débarrasser de son manteau, chapeau et gants elle commence à s’occuper du dîner. Frederica  et tout les habitants de cette ville étant végétarien, chaque met est un festin pour les yeux et un régale pour le palais. Elle habille  la table ronde d’une nappe étincelante de blancheur, les assiettes en pure porcelaine de couleur  bleu lavande, les couverts en argent anciens et patinés par plusieurs générations, les  verres en Cristal étincelants et de ligne pure sont posés sur la table avec harmonie.

L’oiseau se pose sur le rebord de la fenêtre, son plumage est luisant, son bec de couleur orange nettoie ses pattes, ses yeux d’un rouge doux  suit tout les mouvements de Frederica, il voit la table dressée et Frederica qui  pose un vase  aux fleures voluptueuse au centre.

Il la voit vaquer vers la cuisine déballer la nourriture, une symphonie de mets végétariens  joliment disposée se pose sur la table, une bouteille de vin couleur rubis complète les préparatifs …..
 Un carillon  sur les ton d’une balade de Chopin annonce l’arrive des invitées.

L’oiseau observe les trois femmes qui viennent d’arriver.

Les trois amies d’enfance  de Frederica.

Quatre femmes, quatre amies  d’enfance, soirée du nouvel an.

Bientôt âpres ce festin Cinq Oiseaux s' envolerons vers la forêt aux arbres majestueux pour l’éternité…..

Le Banc



Le Portrait d’une femme 

Il y a longtemps un vieux marin avait ramené un banc d’un pays lointain et l’avais posé  la, a quelques mètres du précipice en face de la mer. Le temps  avait rouillé les parties  en  fer,  le bois de  couleur autrefois brun était maintenant  couleur de mousse foncé, fissurée par les années, le vent et les pluies. On aurait dit qu’il était la depuis la création de monde  attendant  la visite de notre amie.

Notre amie  apparaît chaque jour avant la tomber du crépuscule, en même temps que  la brise et la brume  qui se lève de la mer, elle vient s’ asseoir.  A cette heure de la journée  tout est magique, l’heure ou la nature semble retenir son souffle et se prépare pour la nuit. Elle vient, elle est la….chaque soir….

 La brise fraîche et salée se  faufile dans son ample chevelure striée de files argentées sur une couleur de cuivre. Une ample chevelure longue jusqu’aux hanches que rient ne peut dompter et que la brise et le vent rend encore plus sauvage,  elle accepte la caresse  du vent dans ses cheveux cela lui rappelles les mains de ses enfants qui jouaient avec,  quand elle les berçait pour les endormir. Parfois  elle attache sa chevelure  avec un foulard rouge, qui leurs donne plus d’éclat cuivrées dans la lumière du crépuscule.

L’étranger qui  l’observe sans ce faire voire aurais envie de la photographier ou la peindre pour rendre immortelle cette vision d’elle, un mélange de force et de douceur émerge de tout son être. 

Ses yeux noirs immenses aux cils cours et fournis entourés de rides que les rires et les pleures ont  marques, ses sourcils partagés par une profonde ride d’étonnement d’une couleur proche a ses cheveux son nez grand et brusque qui  observer  d’un  certain angle ressemble a celui de l’aigle, une bouche grande et charnue aux dents autrefois étincelantes, aujourd’hui marquer par  la nicotine et l’âge, des rides autour des lèvres, un menton rond  et fort. Un visage marqué par la vie  illuminé par les  éclaires chaleureux   de ses yeux.  

L’étranger  aurait noté que le corps était ferme et dure malgré l’âge, un corps qui n’á jamais reculer devant le travail dur ou les caresses de l’amour. Ce corps sous ses habits simples de teintes brunes cachent les marques du travail, les marques des heures à veiller des enfants fiévreux, les marques d’amour et de tendresses qu’un seul homme  savait donner.

Le soir arrive doucement enveloppent notre étrangère de la  brume montant de la mer. Encore quelque instant elle se métra debout sur ses   fortes jambes, tournera le dos a la mer et au vent qui baisse et elle se laissera perdre dans la brume….

la Déchirure Francais-Anglais-Hebrew

  Déchirure Son amie fêtait son anniversaire. Elles avaient décidé de dîner ensemble dans un nouveau restaurant japonais, inauguré près du ...